ce que je ne vous dirais jammais

je ne pourrais pas avancer avec elles, ce soir ca me parait comme une évidence. j'ai la sensation d'avoir tourner a droite alors qu'il fallait prendre a gauche, d'avoir rater le coche. et rien que de penser ca c'est horrible, je m'en veux, je ne veux pas les quitter, et je ne les quitterais pas cette année, j'ai raté la sortie!

je dois continuer.

je dois mettre les choses au claire, avec elles et dans ma tete. c'est pourquoi je suis la.

pb1: claire, so et mireille. ok mireille traverse un passage a vide. ok elle n'a pas tout le temps l'attitude volley, ok elle a une vision de jeu moins pertinente que celle de perrine. mais les filles n'ont pas a la traiter de la sorte. elle ne sait meme pas qu'il y a un probleme! so et claire ont le droit d'en avoir marre, mais elles n'ont ni a l'insulter, ni a se monter la tete toutes les deux. c'est ca elles se montent la tete entre elles contre mireille. elle doivent lui parler. je ne supporte plus ces messes basses, ces commentaire, et ces petage de cable.

pb2: la plupart d'entre n'ont pas l'attitude volley. on dirait qu'on ne veut pas la meme chose. moi je veux monter pour ne pas partir. mais elles? elles ne joiuent que quand ca en vaut la peine, le probleme c'est que ca en vaut toujours la peine, et ca elles ne l'ont pas compris, pas toutes en tout cas.

pb3: le materiel, c'est bete, c'est meme trop bete, mais j'en ai marre de me faire avoir a chaque fois, trop bonne trop conne c'est pas ca qu'on dit? marre d'etre toujours la derniere a s'étirer pcq je me suis taper le plus chiant a ranger.

pb4: claire; elle commence a savoir, a connaitre son potentiel, elle commence a prendre la grosse tete.elle a certainement la plus grosse frappe de l'équipe. mais pas la plus grande intelligence de jeu, ni le plus grand esprit d'équipe. faut qu'elle arrete la ! elle commence a ne plus respecter issam, ni personne.

pb5: christelle, pour elle j'ai peur de  ne rien pouvoir faire. elle se prend pour une diva. ca n'en ai pas une. que dire de plus?

pb6: alexia, 

nouvelle année, nouveau départ, nouvelle vie.

nouveaux sujets, nouveaux principes, nouvelles prioritées.

on efface, on ignore, on évite, on se range, on recommence, on réécrit, des choses bien. on sort de ce milieu glauque, qui ne nous a rien apporté, peut être une ou deux dernieres, pour bien faire, mais honnetement je n'en ai pas envie. pas envie de les revoirs, ils ne me ma,que pas, il n'y a que elle, ma demie, qui reste. et toi bien entendu, tu ne le sait pas mais c'est pour toi tout ca.

réaxer ma vie, changer mes amis, non changer d'amis. et me changer moi meme.

changer d'amis, par ce que ceux la, c'est plus possible. et meme si dans le tas yen a des bien, tampis, ils payerons pour les autres. j'ai trop été bléssée, trop été dénigrée. je m'en vais. je pars la tête haute avant qu'ils ne m'assassinent. je pars loin d'eux. je n'en veux plus. rien que de penser à eux j'en ais marre. mon choix est fait et aucun retour en arriere n'est possible. le processus est déclenché, il n'y a pas de bouton stop. mon esprit a pris parti. et quand on y plante une idée, elle y germe, est grandit, se dévellope j'usqu'à devenir obsession. ca marche comme ca. il n'y apas d'herbicide dans ma tete. on ne peut rien pour lutter contre ca. c'est comme ca.

je pourrais continuer longtemps a les déniger, mais c'est assez.ils n'y sont pour rien après tout, c'est moi qui ais tout fait, par le meme processus. je les ais monté sur un pied d'estale, et quand je les ais vu pour de vrai, je suis tombée. et une chute ca fait mal. je devrais le savoir depuis le temps que je fais l'erreure; ils finissent tous par te décevoir. arrete de t'ouvrir au premier venu. tu irax mieux. si on regarde maintenant les gens qui te reste.... ceux qui ne t'ont pas fait tomber, et bion il en reste pas bcp. et ceux qui reste, pour combien de temps sont ils la? quand vas tu les voir pour de vrai? quand vont ils te pousser? t'écraser?eux qui sont si lisses, de près ils doivent etre plein de verrues, de crateres, de piquants, de crochets, comme les autres.

A force d'en attendre trop on est forcement déçu.

et si on regarde ceux qui apres t'avoir pousser t'ont tendu une main, pour t'aider a te relever, ceux qui sont revenu te chercher au fond du trou, il n'y en a que tres peu. et c'est toujours les memes. moi il y en a trois et toi. mais toi tu ne m'a pas poussé. pourtant je t'ai vu, je t'ai vu de si pres et tu es aussi lisse que la surface de l'eau. pas de piquants, pas de cratere, de pres tu es beau, tu es magnifique. tu ne m'as jamais pousser, au contraire, tu m'as attrapé, pour ne pas que je tombe, et que je te vois d'encore plus près.